no parking, no business: no business, no life.
Publié par FREDERIC le 18/12/2024
L'illusion c'est de croire que les commerçants du centre-ville peuvent se développer avec la seule clientèle captive du centre qui se déplacerait à pieds ou à vélo ou encore en transport en commun. Or il n'y a qu'à comparer le taux de vacance du centre-ville en comparaison avec le taux de vacance en périphérie. Certes la société change et il faut du vert et du paisible mais il faut aussi de la praticité et du bon sens. Enfin, avec les très nombreuses places de stationnement supprimées ces dernières années, les parkings en structure sont saturés à tel point qu'on ne peut même pas prendre d'abonnement pour de nouveaux salariés. En outre, si l'on souhaite que la population de la ville se développe et que cette dernière soit une population active (et qui donc consomme), il faut éviter de condamner trop tôt les véhicules individuels ou les changements trop violents car vivre dans l'agglo et travailler en ville ou inversement, avoir des enfants qui vont à l'école et qui ont des activités, faire des courses, avant, après ou entre deux rdv incompressibles (récupérer les enfants à l'école et les amener au centre omnisport, par exemple), ne peut pas se faire en transport en commun.suivez l’avancement agen 2032
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